| Yulian Chido | | Nouveau membre |  | | 4 messages postés |
|  Posté le 06-07-2009 à 14:12:07   
| | Fiche de Yulian Chido .
Nom : Chido Lan
Prénom/Surnom : Yulian / Cerisier Blanc
Votre Age approximatif : 70 ans. Né en 1945.
Caractéristiques Physique : Yulian. Quand il est né, là-bas, au pays du Soleil levant, il était destiné à être un garçon maigrichon, pourtant, aujourd'hui, et grâce à l'Institution, il est, même si mince, quelqu'un de profondément agréable à regarder. Fin mais étoffé, il n'est, certes, pas très grand, puisqu'il atteint juste un mètre soixante dix, ce qui est déjà bien, d'ailleurs, mais, est quelqu'un de très bien proportionné. Et son poids, de presque dix kilos sous sa taille convient à sa stature et sa silhouette. Et, pour revenir à son physique détaillé, il est, quelqu'un de pâle. Un dérivé de jaune et de rose pour un beige peau, virant dans le blanc cadavre, mais pas désagréable, grâce à une peau laiteuse et fine, pour des cheveux fins noirs mi-long et des yeux noirs tachetés de verts émeraudes, bridés avec légèreté, parcourant un visage aux traits semblant ne pas vouloir vieillir, sans avoir besoin de se battre. Et ce n'est sans dire que ses mains pourtant semblent, sans être vieillis, fragiles par le temps. Et, en regardant plus bas, des cuisses, pas vraiment épaisses, tout le contraire, mais de bonne taille, pour une personne athlète et charmante. Il fait de son corps une fierté, et garde en habit, depuis son arrivée, l'uniforme qu'il portait tout à son honneur dans son ancienne école du Japon, et qui était la plus réputée du quartier des fleurs et des cerisiers.
Oui, uniforme blanc bordé d'un noir uni, chemise noire unie de même, cravate rouge presque cramoisie et cerisier, avec emblème de l'établissement relié par quatre chainette. Veste à boutons d'argent et de noir régulier. Rien de mieux pour mettre en valeur, ce que le garçon appelle le Charisme du bon vivant saint. D'ailleurs, s'il ne se sépare jamais de cet uniforme, qui est pourtant bien âgé, il semble lui non plus de pas vieillir ni s'user. Et, c'est sans dire qu'il faisait parti de ces écoles chers où l'on accepte que la crème de la crème du Japon, sélection à la fois intellectuel que charismatique. On le voit souvent comme celui qui doit tout avoir eut à la naissance.
Vos démarcations Psychiques : Chido est à l'attente de son physique charismatique mais doux. Puisque son apparence est calme et sereine, lui, est, quelqu'un de réfléchit et silencieux. Une brise douce, une fleur de cerisier qui refuse de se faner et de se décrocher de son arbre pour ne plus apercevoir le Soleil, et se perdre parmi les autres feuilles et fleurs mortes. Cette fleur ne peut pas faner. Et, il ne fait peur à personne, il influe admiration et paix, pour une personne tendre et amicale avec tous. Il s'adonne bien souvent à la solitude des astres. Quand il s'isole des heures. En effet, il souffre de maux de tête récurrents et profonds. C'est d'ailleurs pour cela qu'on l'autorise, bien qu'accompagné, de sortir dans la forêt de Malaverse, puisque c'est le seul moyen de le calmer à part les médicaments, qu'il semble prendre à grande dose et très fréquemment, en essayant pourtant d'être le plus discret possible.
Notre fidèle Cerisier Blanc, aux allures calmes, cachent, plus ou moins bien, une solitude qu'il refoule dans les sourires des enfants de l'Institution. Une mélancolie, ou un sentiment qui le pourchasse. Il est loin d'être malheureux, mais pourtant, le seul fait d'être retenu entre des murs le rend malade. Mais étant quelqu'un de très sympathique et jovial malgré sa sérénité hors paire, il se contente de peu et sait bien profiter des moments rares mais plaisants qui s'offre à lui.
Votre Histoire/Anecdote de votre enlèvement : Il était bon et normal, même au Japon, dans les années 60, de sortir après l'école s'allonger dans les parcs. Et tout particulièrement pour cette bande d'adolescent, oppressée par la difficulté déjà très actuelle dans leur établissement, le plus réputé du quartier des fleurs et des cerisiers, un quartier non touché par les ravages de la guerre puisque reculé, aimant la simplicité et possédant un grand quartier des plaisirs, où une petite école de Geisha formait pourtant les plus grandes d'entre elles, et plus au nord encore, mais dans les campagnes refusant la civilisation des armes à feu etc.. grandissait avec sérénité et silence, quelques villages de Samouraïs.
Cependant, la seule chose qui attirait la bande était le garçon Japonais qui avait un nom qui venait d'un peu plus loin dans l'Est. Pour cause, sa famille possédait grand nombre de territoires et d'entreprises, et décidèrent un jour, il y a de ça tout de même quelque générations, d'honorer un Dieu qui s'appelait Chido Lan en s'emparant de sa fierté pour créer la leur. Et donc, si il était la cible d'attention de ses amis, à ce moment, il ne faisait pourtant, pour lui, rien de particulier, assis au bord d'un fleuve, sur l'herbe fraiche, à chanter doucement, et à murmurer aux quelques corneilles qui s'aventuraient de-ci, de-là. Et, quand il se leva pour embrasser son ami le plus cher, c'était pour, en lui tenant la main, l'emmener vers un Cerisier Blanc, bien plus épais et grand que tous, il était son préféré. Toujours en fleurs, qu'importe la saison. Le garçon, semblait le comprendre, et tous, en était conscient. Surtout quand, la main du garçon se posa contre le tronc de l'arbre, avec celle de Yulian sur la sienne. Il sentit comme des vibrations. Comme... un mauvais pressentiment. Il se retourna, il connaissait l'existence, comme les autres amis de l'adolescent, des dons particuliers qu'il possédait, pourtant, il se jeta devant lui et le calant contre l'arbre, au même moment, un filet de sang s'échappa à la commissure de ses lèvres, éternisant un " Je t'Aime " ultime suivit d'un " Vis " dans la langue nippone. ( Skidayô & Ikite ). Quand le garçon voulut déposer un dernier baiser sur les lèvres de celui qu'il venait de sauver, il s'écroula dans les bras de ce dernier, qui restait, à la fois ahuri, et à la fois, sans étonnement particulier. Comme un adieu ultime, il déposa le corps de son cher contre l'arbre, jeta un coup d'oeil aux autres qui se jetaient sur le corps en pleurant, et deux d'entre eux se débattaient et s'écroulaient contre le poing d'un adversaire redoutable. Devant eux, un homme, au visage Européen, se tenait droit. Bien plus grand, beau, reconnaissait Yulian, il le dévisagea. Pourtant calme de naturel, ce fut la voix de sa meilleur amie qui le fit redescendre sur terre, il embrasse finalement le front de celui qu'il avait aimé, et qu'il aimait malgré l'instant, craqua d'un geste sûr les phalanges des ses doigts et remonta ses manches. On entendit un craquement dans tous son corps, l'homme en face sourit, lança un " Tu te montres enfin " dans une langue que Yulian comprit parfaitement, pour, malgré l'époque, l'avoir étudié bien souvent. Et, se jeta sur l'adversaire, d'abord, planta son poing, meurtrier, dans le sternum de celui ci, avant de se rendre compte, qu'il n'avait reçu qu'une chatouille, d'abord, il ne comprit pas. Puis, sentit ses veines le bruler, tout son corps devenir tant lourd que trop léger. Il avait quelque chose de planter, droit dans sa nuque, parcourant déjà son corps. Il avait perdu. Il n'avait rien vu venir. Il ne reviendrait pas, il le savait.
Un bruit de mécanisme enclenché réveilla sa curiosité, l'incitant à ouvrir, tant bien que mal, ses yeux. Dans une douleur qu'il sentit se répandre plus intensément quand sa volonté lui fit réussir un bref mouvement du regard pour visée les gens présents à son chevet, reconnaissant avec extrème difficulté celui qui l'avait achevé si facilement, et tué celui qu'il aimait... qu'il aimait ? Une flou se créa dans sa mémoire, comme un vide qui se créait, petit à petit, et qui était remplacé par un trou noir, sans fond. Des rires dans sa tête, puis une coulée de sang, une, puis, des corps qui s'entassent. Sous un même poing, indestructible, il voulut crier, ses yeux le firent pour sa voix, dans une souffrance ultime, il s'écroula de nouveau. Se demandant, dans l'absence de ses mouvements, s'il n'était pas mort. Jusqu'à rêver, et voir la scène, des yeux de son agresseur, à le regarder lui, en train de tuer ses propres amis. Laissant une dizaine de cadavre, mal entassé, et, à l'écart, sous un Cerisier Blanc en fleur, un corps allongé avec tendresse et simplicité, avec pour seule blessure un trou dans coeur, un trou propre, laissant l'uniforme et le corps se noyé dans un sang qui appartient à ce dernier .. L'image s'éloigna, encore, et affreusement vite.
Yulian sursauta. Se réveillant de plein fouet, avec comme seule douleur, celle qu'il venait de se faire en cognant sa tête contre celle de l'homme qui était à ce moment en train de retirer les patchs qui parcourait son torse imberbe et bien sculpté. Il eut un réflexe de parler japonais, demanda où il était, le rictus qui s'énonça sur le visage de l'autre sembla l'implorer, il se mit à parler français naturellement, comme si qu'il l'avait parlé toute sa vie. L'accent était parfait. Un homme fit son irruption accompagnée d'une jeune fille, de son âge.
" Bien, tu sembles avoir bien dormit, Yulian !
- Vous !
- Oui, moi, mais laisse moi la parole, veux-tu ? Je ne l'ai pas caché à la Demoiselle, je ne ferai donc pas d'exception pour toi. Tu es enfermé ici, et tu vas nous servir, pendant un moment, tu seras testé, mais ici, tu vivr..
- Je vivais là bas.
- Oui, mais tes amis ne vivent plus de toute façon, et par ta faute, je regrette d'en être arrivé là, mais ta psychologie compliquée en a décidé. Tu devras nous suivre. Les autres non, mais moi, je t'aimerai, et la demoiselle qui est avec moi t'as bien gardé ces temps ci, remercie là. Je repars, j'ai trois ados à récupérer. Faites comme bon vous semble, manière de parler, vous serez bien surveillé. Ah, et, Yulian, pendant ton sommeil, nous t'avons injecté notre antidote magique ! Ellana t'expliqueras tout, je n'ai pas le temps. "
Il partit, laissant un homme médecin, et les deux adolescents, qui se regardèrent longtemps. Yulian prit conscience qu'il ne serait pas mal traité, exploité, et fruit de plusieurs expériences, sa vie devint vite un rituel qui l'agaçait, mais qu'il faisait, comme un zombie errant dans la bâtisse. Il y grandit.
Particularité : En plus de pouvoir étrangement comprendre et ressentir le langage des animaux et de la nature en elle même, Yulian est très rapide et peut faire de son corps un véritable blindage indestructible qui décuple sa force brute. Il déteste ce pouvoir là.
Votre passe temps à l'Institution : Dessiner et lire. Gambader, bien qu'accompagner de soldats, dans la forêt de Malaverse.
--------------------
|
|
